photo Aide familial / Aide familiale

Aide familial / Aide familiale

Emploi Social - Services à la personne

Jarville-la-Malgrange, 54, Meurthe-et-Moselle, Grand Est

Il faut tout un village pour grandir Donnez un nouveau sens à votre parcours professionnel avec SOS Villages d'Enfants en participant à une grande aventure humaine, devenez "Mère / Père SOS". Depuis près de 70 ans, SOS Villages d'Enfants accueille des frères et sœurs séparés de leurs parents sur décision de justice : réunir les fratries sous le même toit leur offre un ancrage et une ressource émotionnelle, affective et matérielle. Avec près de 900 collaborateurs, 20 villages d'enfants SOS et de nouveaux projets à venir, SOS Villages d'Enfants est un acteur majeur de la protection de l'enfance. Notre association est membre de SOS Villages d'Enfants International la 1ère ONG privée pour l'enfance dans le monde avec plus d'un million de bénéficiaires (enfants, jeunes, parents, adultes) répartis dans 136 pays. Notre ambition est de tout mettre en œuvre pour permettre à chaque enfant de se reconstruire en lui offrant une relation éducative et affective durable auprès d'adultes qui croient en lui. Nous recherchons pour le village d'enfants SOS de Jarville-la-Malgrange (54) un.e : Aide familial.e (H/F) en CDD (1 mois) à temps plein pour des remplacements ponctuels Votre[...]

photo THÉÂTRE L'ETANG - GISELE VIENNE ROBERT WALSER

THÉÂTRE L'ETANG - GISELE VIENNE ROBERT WALSER

Spectacle, Théâtre

Vandœuvre-lès-Nancy 54500

Du 08/07/2021 au 09/07/2021

Marionnette / Théâtre / Réalité vacillante Coproduction CCAM / Spectacle en allemand surtitré Pièce après pièce, Gisèle Vienne dessine un parcours artistique qui sillonne dans les pénombres de l'âme humaine. En révélant les tourments des protagonistes de ses mises en scènes, elle compose des tableaux expressionnistes d'une cohérence et d'une densité qui confèrent à son art une puissance poétique confondante. Elle a choisi d'adapter une pièce de Robert Walser (1878-1956) intitulée L'Étang. Un drame familial qui se profile simplement, si ce n'est les deux étrangetés qui le distinguent du reste de l’œuvre de Walser : un texte “privé” que le jeune écrivain avait offert à sa sœur, et son unique écrit en suisse-allemand. Il narre l’histoire d’un jeune garçon qui se sent mal-aimé par sa mère et simule, au comble de son désespoir, un suicide pour vérifier l’amour qu’elle lui porte. Tout se termine (trop) bien, mais quels sont vraiment les enjeux ? Quelles sont les différentes strates de langues, des narrations aux paroles, formulables ou non, qui composent notre perception et notre compréhension ? Ces questionnements – depuis longtemps au cœur du travail de Gisèle Vienne – se[...]